Les travailleurs peuvent s’absenter en conservant leurs salaires pour certains événements familiaux tels que la communion solennelle ou la fête de la jeunesse laïque d’un enfant (adoptif ou reconnu).

Le jour de petit chômage peut être pris le jour de la fête ou le jour qui précède ou qui suit celui-ci. Cependant, le travailleur n’a droit qu’à un jour si deux événements ont lieu le même jour.

Attention : ce jour de petit chômage ne peut être pris ni pour la première communion (ou la fête laïque correspondante) ni pour le baptême.

Le travailleur peut exercer ce droit pour autant qu’il en avertisse son employeur, utilise le jour d’absence aux fins prévues et en fournisse les preuves si celles-ci sont demandées par l’employeur. Des ajustements peuvent être effectués suivant la commission paritaire.